L’Orchestre de Cleveland, « meilleur orchestre des États-Unis » (The New York Times), et son directeur musical de longue date Franz Welser-Möst interprètent un programme fort et provocant construit autour de la suite du Mandarin merveilleux de Béla Bartók, un ballet-pantomime abordant le thème des sombres passions entre hommes et femmes et qui a suscité un tel scandale à sa première en 1926 qu’il a été censuré ! La partition est plus éclatante que jamais, ce qui est également vrai des autres pièces au programme : la rare Kleine Symphonie du compositeur autrichien Ernst Krenek ; l’intense Adagio de la Dixième de Gustav Mahler, symphonie inachevée ; et un autre trésor de Bartók, l’audacieux Quatuor à cordes n° 3 dans un arrangement orchestral.
Photo © Roger Mastroianni
Avec l'Orchestre de Cleveland au Severance Music …
Avec Daniel Barenboim et Alisa Weilerstein