La violoniste virtuose norvégienne Vilde Frang « a le don d'insuffler la vie à chacune de ses notes » (BBC Music Magazine) et, lors de cette performance stratosphérique avec le magnifique Budapest Festival Orchestra et l'immense maestro Iván Fischer, elle fait preuve de son talent exceptionnel dans le romantique et mystérieux Concerto pour piano n° 1 de Bartók : une œuvre qui ne fut publiée qu'une dizaine d'année après la mort du compositeur, notamment en raison du rejet amoureux de ce dernier par la violoniste Stefi Geyer, dédicataire du concerto. Ses deux mouvements semblent évoquer deux facettes de Geyer, la première « idéalisée... céleste et introvertie », et la seconde « joyeuse, espiègle et drôle ». (Bartók renonça à écrire un troisième mouvement qui aurait été « indifférent, froid, silencieux »)
Lire la suiteAirs, solos et duos à l’église Sainte-Marie de Wi…
L’Orchestre du Festival de Budapest