La variation de Guido témoigne du succès précoce et répandu de l’œuvre vivaldienne, bien que les deux concertos s’opposent, d’un point de vue stylistique. Si la partition de Vivaldi s’inscrit dans la tradition italienne, qui place la musique au service de la narration, les Scherzi s’alignent plutôt sur l’école française, avec un jeu élégant et une esthétique soignée.

Des salles de concert de la lagune de Venise aux somptueuses jardins de Versailles, des tièdes levers du soleil de printemps aux nuits glaciales de fin décembre, il y a ici un petit morceau de beauté pour tout le monde !