Orphée et Eurydice marque le point de départ de la réforme dramatico-lyrique de Gluck. Finie la dictature des chanteurs, ce qui compte désormais c'est la continuité de l'action à l'orchestre. La « Danse des furies » achève le premier tableau où Orphée réussit enfin à apaiser les habitants des enfers. Son rythme marqué contraste à merveille avec « Le Ballet des Ombres heureuses » qui ouvre le tableau suivant.
Lire la suiteAvec Pierre Boulez et Maria João Pires