Au cours de la première partie de cette archive passionnante, nous découvrons une séance de travail avec l’ensemble de classe mondiale, suivie de l’épreuve du « filage », qui voit l’orchestre mettre en pratique ses précédents exercices lors de l’interprétation de l’œuvre dans son intégralité et dans les conditions du concert. Symphonie pétillante s’il en est, la Première de Prokofiev s’inspire de l’écriture aérienne de Mozart pour nous offrir une fusion stylistique unique, qui porte également la patte si particulière du génie russe.