Plus de trois cents jeunes pianistes et violoncellistes venus du monde entier viennent à Genève dans l’espoir d’être repérés lors de l’une des compétitions musicales les plus prestigieuses : le Concours de Genève.
Le talent ne suffit pas. Les candidats doivent non seulement posséder une parfaite technique, une mémoire sans faille, une résistance au stress mais également la capacité d’émouvoir le public. Ainsi que l’explique l’un des membre du jury, pour réussir dans cet univers impitoyable il faut avoir des nerfs de brute et une sensibilité exacerbée.
Créé en 1939 par Henri Gagnebin et Frédéric Liebstöckl, le Concours international d'exécution musicale de Genève (CIEM) a pour objectif de découvrir, promouvoir et soutenir de jeunes talents, leur donnant les outils nécessaires pour développer une carrière internationale. Il offre ainsi deux années de concerts à ses lauréats après obtention de leur prix.