La danse est par essence éphémère. Les danseurs dansent, le mouvement laisse place au mouvement, n’en reste qu’un souvenir gravé dans l’esprit du spectateur, voué à s’effacer peu à peu lui aussi. À partir du XIXe siècle, deux inventions révolutionnent cette dynamique : la notation des mouvements, qui facilite la transmission des chorégraphies, et la caméra, qui présente le merveilleux avantage de garder trace non seulement des mouvements du corps, mais aussi des expressions du visage.
Lire la suiteExtraits de 9 choréographies : Le Parc, Blanche N…
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