Aucun détail du chef-d’œuvre de Massenet, sorte d’Eugène Onéguine à la française, n’est négligé dans cette production de Tatjana Gürbaca : que ce soient sa naïveté (scènes enfantines de l’Acte I), son humour (taquineries de Charlotte sur les vieilles dames auxquelles elle rend visite à l’Acte II), son romantisme (clair de lune et tempête) ou encore sa mélancolie intense (désespoir final de Charlotte sur la tombe de Werther).
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