Bien qu’il ne perdît jamais la douceur de ses manières, Yehudi Menuhin possédait une grande force intérieure et une éthique qui l’aida à traverser une vie tumultueuse, sous le regard attentif du public. Durant sa jeunesse, son existence sembla se dérouler comme sous un charme. À l’âge adulte il parut s’éveiller et prendre conscience qu’il ne savait pas véritablement jouer du violon. Les critiques n’eurent de cesse de comparer l’adulte au jeune homme, quoique le Menuhin de la maturité fût cinq fois plus le musicien. Lorsqu’il était au mieux de ses capacités, la musique semblait émaner de sa personne tel un flux affectant son auditoire. Il envoûta tous ceux qu’il rencontra.
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